Les militaires français espèrent la sortie des USA de l’OTAN pour ne plus avoir à parler anglais

Dans les difficultés que rencontrent les anciens alliés des États-Unis d’Amérique depuis l’accession de Donald Trump à la présidence du pays, certaines deviennent également des opportunités. Depuis que la principale force de l’OTAN menace de sortir de l’alliance, les Français espèrent ainsi que la seconde langue officielle de l’organisation ne l’unique langue que devront utiliser tous ses membres pour échanger dans les cadres officieux.

Si cette règle est adoptée, les armées francophones pourront ainsi économiser entre deux et trois milliards d’euros. Cette somme utilisée pour former les cadres pendant des années pour avoir un niveau tout juste acceptable pour éviter de déclencher une guerre inter-étatique par malentendu lors des briefings communs pourrait de cette façon être dépensée ailleurs.

« Aie yam very api tou be ouiz iou tou … tou… ah mince, comment on dit déjà… tou introduce mi ine iou. Non, c’est pas ça que ça veut dire. Oh bord d’aile… Aïe yam very api. »

Commandant Willer – bilingue franco-vosgien

Assez étonnamment, de nombreux pays semblent accepter cette proposition. Une délégation tchèque a signalé qu’il préférait devoir rapprendre cette nouvelle langue plutôt que de devoir écouter les prononciations de localités internationales déformées dans un mix franco-anglais lors des présentations en équipe des militaires français.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *