Après un minutieux travail d’enquête sur plusieurs années, diverses équipes spécialisées de la police nationale ont effectué une visite surprise sur le site du 17e régiment du génie parachutiste (17e RGP) de Montauban. Comme le laissaient penser leurs informations, plusieurs centaines d’armes de guerre étaient présentes sur la zone militaire. L’étude de documents semble indiquer que cet état de fait soit ancien et connu de l’ensemble des personnes sur l’emplacement.
Le trafic semble avoir réussi à rester indétecté par l’utilisation de machines informatiques ayant entre 2 et 3 générations de retard pour les achats et la gestion des armements. Ces machines obsolètes n’étant plus suivies par les techniciens de recherche de la police, estimant que personne ne pourrait travailler dans ces conditions matérielles.
« Nous avons trouvé des véhicules blindés lourds, par chance pour la population, aucun en état de fonctionner. Les individus se préparaient à être opérationnels grâce à une flotte de Kangoo dernier modèle. »
Brigadier Patulacci – Deuxième repêche en école
La récupération de tout le matériel pour le besoin de l’enquête fut relativement fastidieuse. L’armurier n’acceptant de fournir les armes que par le grillage prévu à cet effet et si on lui laissait crier une dernière fois le numéro de série de chaque fusil. Une équipe du service d’hygiène de la répression des fraudes a également été mobilisée suite à la découverte de nombreux barbecues dont les graisses non nettoyées depuis la fin de la conscription risquent de faire classer la garnison comme zone Seveso.