Les généraux demandent une vérification des abris anti-atomiques « sans raison particulière »

Plusieurs généraux ont fait cette semaine des demandes de vérification complète des abris anti-atomiques de leur état-major sans aucune raison particulière selon eux. Une initiative qui intrigue d’autant plus que cette requête a été faite indépendamment les uns des autres et en toute discrétion. Les autorités tiennent à insister sur le caractère anodin de ces inspections et assurent que le choix des conserves par rapport à leur préférence personnelle n’a aucun lien avec une utilisation prochaine du bunker.

Comme à son habitude, la machine administrative mise en place par ces mêmes généraux entre en scène et permettra dans un délai rapide de 10 ans d’avoir une installation conforme à la demande. Plusieurs gestionnaires décident ainsi d’externaliser ces prestations et sont pour l’instant déçus que la seule offre disponible soit celle de leurs anciens subordonnés qui leur font payer trois fois le prix de la contribution faite précédemment en interne.

« On ne sait pas si on a bien fait de laisser la charge des abris anti-atomiques aux bases de défense. On risque d’avoir le droit d’y accéder que 3 ou 4 mois après le début de la guerre nucléaire, et encore, sur présentation du QR code anti-COVID. »

Général Alain F. – Responsable mais pas coupable

Plusieurs de ces hauts gradés ont assuré que cela reste de la préparation de routine et conseillent aux membres de leurs équipes d’écouter les déclarations d’Olaf Scholz pour se rassurer sur l’absence d’urgence et de problème géopolitique. L’inquiétude subsiste quand même depuis qu’une commande de soda en bouteille spécifiquement ‘avec capsules’ a été faite pour un des principaux bunkers.

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