Le premier prototype de sous-marin d’attaque à propulsion solaire et éolienne a rencontré des difficultés majeures et inattendues lors de ses tests initiaux, freinant les espoirs d’une révolution dans la navigation militaire écologique. Les essais ayant eu lieu durant l’heure de pause quotidienne de pluie cherbourgeoise, remplacée à ce moment-là par la bruine, ce nouveau bâtiment armé par les meilleurs marins, a connu de nombreux déconvenues pour obtenir de l’énergie.
Il semblerait que malgré la meilleure volonté des ingénieurs, tant du constructeur que de la DGA, les panneaux photovoltaïques ne fournissent pas l’énergie nécessaire en plongée. Tentant de rester près de la surface, l’éolienne a su fournir de l’énergie mais a également rendu le sous-marin visible depuis des kilomètres. Ce dernier élément permettrait néanmoins au sous-marin de se camoufler bien que la présence de telles pales au milieu de l’Atlantique ne peut qu’éveiller le soupçon.
« On ne pourra pas dire que l’on n’aura pas tout essayé pour être vert. On garde malgré tout un espoir concernant le potager en hydroponie même si on a dû se débarrasser de toutes les torpilles pour trouver de la place. »
Capitaine de Vaisseau Francky V. – Réaliseur de rêve
Il semblerait que l’absence de hublots dans les sous-marins militaires ait fait oublier le manque de lumières dès les premières profondeurs lors des choix technologiques de ce nouveau bâtiment. Néanmoins, tout n’est pas perdu, l’éolienne sera conservée pour la prochaine génération sortant des ateliers afin d’y tendre un filet et permettre la récupération régulière d’algues et de poissons assurant ainsi une augmentation de la durée de patrouille en mer grâce aux vivres récupérés dans le milieu aquatique.
Sur une idée de VoronoV