C’est un retour à la caserne difficile pour ce régiment du sud de la France qui a tenu à garder l’anonymat lors de son témoignage durant le RETEX (retour d’expérience) auprès des états-majors. Suite à 2 semaines de manœuvre sur le terrain, la moitié des buts de l’exercice, taillé pourtant comme toujours, pour être réussi n’ont pas été atteints. Les participants semblent s’accorder sur le fait que le wokisme serait en cause dans cet échec.
Il semblerait que le wokisme ait empêché la synchronisation des tirs entre deux sections après également avoir déjà gêné la manœuvre des blindés légers à la lisière de la forêt où se déroulait l’exercice. Néanmoins, certains soldats tiennent à signaler que des problèmes dus à l’organisation des jeux olympiques à Paris peuvent également avoir été la source des incidents rencontrés sur le camp de Grostenquin en Moselle.
« Soyons honnêtes, c’est évidemment à cause du wokisme que l’on n’a pas atteint les objectifs. Ainsi que tous les problèmes de gestion que l’on rencontre à cause des syndicats alors même qu’ils sont absents dans les armées. »
Capitaine G. Mathurin – Intellectuel en devenir
Bien que ces conclusions semblent unanimement partagées, un lieutenant a été rappelé à l’ordre à la suite de son RETEX où il signale une mauvaise préparation des équipes et des soirées arrosées par l’ensemble de l’encadrement. Cela ayant pu fortement abaisser les capacités de combat sur place. La mise à pied de cet officier a été d’autant plus immédiate qu’il est EMIA (en provenance des sous-officiers) et ne peut être considéré avec un jugement fiable.