L’expérience démontrant chaque année la justesse de la loi d’Augustine, les nouveaux matériels achetés par les armées atteignent désormais des sommes très importantes limitant leurs nombres dans l’acquisition. Le cout de production d’un char Leclerc étant de 8 millions d’euros, environ 70 millions d’euros pour un Rafale voire quasiment 4 milliards d’euros pour un sous-marin lanceur d’engins de la classe Le Triomphant.
De ce fait, d’autant plus que le prix des munitions a suivi un chemin similaire, les états-majors ont décidé que le risque est trop important d’endommager ces matériels modernes dans un conflit armé. Plusieurs réflexions sont en cours pour trouver des solutions alternatives tout en permettant aux industriels de conserver leurs marges et leurs capacités à répondre aux cahiers des charges changeant des commanditaires.
« Toutes ces hausses de prix permettent de donner des arguments pour le SNU. Avec le futur cout de l’essence, on aura bien besoin d’au moins 60 lycéens pour pousser chaque char Leclerc sur le champ de bataille. »
Général Matteo F. – Expert en expertise
Afin d’être certain d’une bonne utilisation des deniers publics, les commissaires généraux ont grandement contribué à la recherche de solution. Des exercices sont en cours pour savoir s’il y a la possibilité d’effectuer des opérations qui consisteraient uniquement à se montrer le matériel entre les deux camps adverses afin d’éviter à chaque belligérant d’avoir une hausse trop importante des dépenses matérielles s’assurant ainsi une guerre prolongée où les soldes OPEX pourront être versés plus longtemps à la satisfaction de toutes les parties.
60 bonhommes pour arriver à pousser un Leclerc ? Un AMX 13, dans souci, mais pour ses 55 tonnes, j’ai des doutes 😅
C’est négliger l’impact sur notre jeunesse du réarmement civique !
Ou alors, ils sont dopés avec les stimulants des athlètes olympiques russes ?