Les logiciels administratifs des armées classés comme tortures par les Conventions de Genève

La dernière décision rendue par la Cour Pénale International est un succès pour l’ensemble des organes représentant les militaires. Elle a confirmé que les logiciels utilisés par les armées pour gérer leurs soldes, l’habillement ainsi que les autres démarches administratives peuvent être considérés comme de la torture selon la IVe Convention de Genève.

La DIRISI assure ne pas comprendre ce classement. L’ensemble des logiciels ont été créés à partir du cahier des charges donné par les chefs de projets. Les modifications apportées par leurs quatre successeurs sans consultation de ce qui a été fait auparavant ont également été implantées sans réticence. Difficile de penser qu’un programme dont le but a été changé 5 fois n’atteigne pas sa finalité.

« Lors de la dernière promesse de simplification, on nous a rajouté 7 étapes de plus pour valider les demandes. C’est certainement pour notre bien, même si ma femme me dit que j’ai désormais le syndrome de Stockholm. »

Caporal Hugo F. – Remplisseur administratif

Des développements sont en cours par les sociétés informatiques pour traduire ces outils et les proposer via des tiers à des nations hostiles à la France. Le degré de complexité a dû néanmoins être abaissé pour permettre de rester dans un niveau de violence acceptable dans le cadre du droit des conflits armés et éviter une nouvelle condamnation.

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