Les armées, comme l’ensemble des éléments du pays, réfléchissent à leur futur dans le cadre du dérèglement climatique. C’est ainsi qu’une étude a été demandée pour analyser son impact dans un des aspects non négligeable de la fonction qu’est la présence durant les cérémonies. De nombreuses simulations météorologiques ont confirmé dès lors qu’il pleuvra toujours quand commencera une célébration d’un jour de fête nationale.
L’étude a conclu en consultant l’évolution de l’environnement des dernières années que votre présence lors d’une cérémonie sera toujours accompagnée d’une forte pluie, ou une forte chaleur. Et à terme, probablement une forte pluie durant une forte chaleur.
« Il faut s’attendre à des malaises quand ils éternueront à cause des températures élevées pendant l’averse. Sans oublier le risque d’avoir le colorant de la tenue sur la peau pendant un an, car elle aura déteint par l’action des pluies acides. »
Véronique Mousse-Deliotte – Directrice de recherche CNRS
Plusieurs réflexions sont en cours dans certains états-majors où l’on se rend compte qu’une armée écologique et raisonnée permet une moindre logistique et une meilleure autonomie sur le terrain. Néanmoins, des généraux qui ne sont confrontés à l’action pour démontrer leur absence de talents ont répondu que l’on n’est pas des « mous du genou » et que ça fait plus viril 3 camions de fioul par jour pour une enceinte de 60 personnes.