Pour faciliter sa gestion, l’Armée de l’Air va se séparer de ses pilotes

Nous apprenons aujourd’hui que l’Armée de l’Air et de l’Espace va à terme suivre une des recommandations exprimées par les équipes administratives de ses bases aériennes. Ce qui était ressenti de manière empirique de la part des soutiens sur les bases a été analysé pour s’apercevoir des nombreux besoins de officiers et sous-officiers navigants sur ces implantations militaires.

Après un audit auprès de McKinsey en échange d’un Mirage 2000C, le cabinet a bien dit ce que le client voulait savoir. Il s’avère que de nombreuses complications sont dues à la présence des pilotes et des opérations qu’ils mènent tout autour du globe. Ces besoins empêchent les différents services d’avoir un train-train habituel dans les procédures de demandes, obligeant à revoir constamment les diverses modalités de départs ou de traitement de solde.

« Grâce à ce choix, on a facilité de beaucoup notre gestion. Pas de personnel qui part tout le temps à l’étranger, d’indices bizarres à calculer. Et vous entendez ? Quel calme sur la base désormais ! On se croirait constamment en fin d’année quand il n’y a plus de crédit pour l’entrainement. »

Adjudant-Chef F. – Chef du bureau refus administratif

Il semble néanmoins que plusieurs lobbys internes à l’Armée de l’Air et de l’Espace ont cherché à pousser au maximum ces décisions. En particulier les clubs sportifs de golfs présents sur certaines bases qui peuvent ainsi étendre la zone de jeu au plus près de la piste.

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