La plus petite par le nombre de personnels des trois armées continue sa quête d’efficacité chaque jour. C’est ainsi que nous apprenons la fin des tests pour permettre aux navires d’assurer plus longtemps leur permanence en mer avec l’installation de club de striptease à bord des vaisseaux.
Grâce à ce procédé, les bâtiments peuvent désormais rester des semaines en mer sans que les marins à bord ne trouvent à redire sur leur situation. Des voix discordantes se sont néanmoins fait entendre par les commissaires pour la gestion budgétaire des billets récupérés dans les sous-vêtements des artistes.
« Le plus difficile a été l’installation à bord des sous-marins pour conserver le silence. Les danseuses et danseurs font sans musique et les talons aiguilles sont en mousse. Déjà 2 entorses en 1 mois. »
Amiral Tugdual De S. de N.-L. d’E. – Amiral commandant la force océanique stratégique
Une inégalité subsiste malgré tout entre le porte-avion Charles de Gaulle dont le hangar peut abriter jusqu’à 6 barres de pole-dance simultanément et le BRS Antarès dont la modeste taille oblige les artistes à affronter les vagues tout en gardant le rythme de leur chorégraphie. La structuredu bâtiment contraignant à installer la piste sur le pont.
Merci au DuffelBlog pour le partenariat et l’inspiration
Excellent,
Je partage sur mon site La Narvalaise pour le 1er avril.
Merci
Bonjour,
Aucun souci. Nous demandons juste de mettre un lien vers notre article et dire que cela vient de chez nous.
Ravi de vous faire rire !
Oui bien entendu, avec plaisir et reconnaissance. Je vous au répondu positivement dans notre échange mail.
Encore merci.
Mon site La Narvalaise, consacré au sous-marin Narval et aux hommes qui l’ont armé de 1954 à 1983, ici : http://www.lanarvalaise.com
Sandrine est d’accord ?