Vendredi portrait : l’officier de cavalerie qui n’a pas appelé ses filles France ou Victoire

Dans notre rubrique « Vendredi portrait », nous tentons chaque semaine de vous faire découvrir une personne peu connue mais essentielle à la bonne marche de nos armées ou sortant du lot. Pour cette semaine, nous avons rencontré Grégory V., officier de cavalerie dans l’ouest de la France qui n’a appelé aucune de ses filles France ou Victoire.

Caporal Stratégique : Merci pour cette interview. Nous n’avons pas cru aux rumeurs sur votre existence. Avez-vous remarqué vous-même votre particularité ?

Grégory V. : Vous savez, j’ai toujours été considéré comme un original. A Saumur [NDLR : à l’école de cavalerie], j’étais uniquement marié là où mes pairs étaient déjà avec 2 enfants. J’étais déjà qualifié par mes pairs de « sacré trublion » pour parler vulgairement.

Caporal Stratégique : Pensez-vous malgré tout appeler une de vos filles ainsi à l’avenir ?

Grégory V. : Nous verrons bien, peut-être que si mon 8ème enfant est une fille, nous pouvons revenir aux traditions et lui donner un de ces deux prénoms si communs dans notre arme. Vous savez, chez nous, nous ne sommes militaires que depuis 4 générations. Toutes les traditions ne sont pas encore ancrées en nous.

Caporal Stratégique : Est-ce que cela n’entraine pas une confusion dans votre appartenance à ce groupe si particulier des officiers de cavalerie ?

Grégory V. : Je ne comprends pas votre question, je pense prendre prochainement le commandement du Régiment d’Infanterie de Char de Marine. Je pense qu’on ne peut pas faire plus clair.

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(3 commentaires)

  1. Cavalier des troupes de marine, il chevauche un dauphin, un calmar, un barracuda, un longimane? avec où sans éperons? où alors la fille de l’Amiral.

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