Le NRBC doit désormais convaincre les complotistes de ne pas lécher les produits chimiques d’attaque

C’est un nouveau défi inattendu qui entre dans la formation du personnel militaire lors des secours en cas d’attaque chimique. En plus de l’apprentissage pour enfiler la tenue de protection T3P et le montage de la tente pour soigner les personnes contaminées, un nouveau volet plus psychologique se rajoute aux taches déjà lourdes.

Une partie de la formation se concentre dans le traitement du public complotiste qui se présenterait dans les centres de décontamination. Visible depuis le mouvement des Gilets Jaunes et prenant de l’ampleur depuis à chaque vague de COVID, ils préfèrent croire que l’ordre mondial est mieux organisé qu’un centre de la Croix-Rouge installé dans leur ville.

« Je ne suis pas un mouton. Vous pensez que l’on va les croire car ils ont mis des tenues et masques pour nous faire peur ? Le produit, je suis sortie et il y en avait partout, je peux même le lécher et vous montrer que c’est inoffensif »

Jeannette F. – ex-complotiste (1968-2022)

La formation consistera principalement en une écoute et selon un tableau comprenant une échelle de complotisme (de Poutine gagne des élections libres à homme-lézard woke), ils seront pris en charge ou rediriger vers les zones pour s’assurer de la présence de produit toxique. Ce nouveau protocole pose encore quelques difficultés de détection si les produits chimiques utilisés sont censés attaquer le cerveau.

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