Coupes budgétaires : L’armée recrute des punks à chiens pour économiser sur l’achat d’uniformes

Besançon – Malgré la période des votes, propice aux cadeaux électoraux, l’Armée de Terre doit « améliorer sa gestion » comme lui recommande chaque année Bercy pour pouvoir faire face aux menaces protéiformes présentes dans l’ensemble des spectres du combat contemporain. C’est du CIRFA du Doubs qu’une excellente idée est parvenue pour l’économie des deniers publics.

Ce choix permet de cette façon d’éviter d’acheter les uniformes, l’ensemble des nouveaux arrivants étant déjà équipé. Les frais de coiffeur lors de l’incorporation sont également limités au maximum à la coupe de la queue-de-rat. Les gestionnaires de l’Armée de Terre découvrent ainsi de surprise en surprise à mesure qu’est étudiée cette solution.

« Ça change pas trop, on m’a mis dans l’infanterie, on marche toute la journée avec un gros sac puis on attend. En plus, le foyer m’a demandé de leur rapporter des 8.6 de mon fournisseur pour avoir des bières de meilleure qualité. »

Jeannot – punk a chien Galeries Lafayette côté Grande Rue

Le succès est tel que cela permis la création du 1er Régiment de Punk A Chien (1 RPAC). Tazer BOLONI, colonel commandant cette nouvelle unité assure que l’ensemble du spectre d’un régiment est présent. « Nous avons pu avoir une compagnie de reconnaissance capable de dormir 5 jours dans les bois sans se laver et également une compagnie d’éclairage et d’appui grâce aux groupes des punks à chien qui savaient utiliser des bolas enflammés »

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